PROMOTION DES ODDs
JVE Cameroun Facilite l’appropriation et la vulgarisation des ODD auprès des media.
LES JEUNES LEADERS S'ENGAGENT POUR COMBATTRE LES POPs
Atelier d'apprpriation des grandes conventions meublant la lutte contre les polluants organiques persistant(POPs)
EN ROUTE POUR LA COP 25
Processus préparatoires des jeunes et des média.
REDUCTION DES RISQUES ET CATASTROPHES
Une priorité dans l'agenda de JVE Cameroun.
mardi 10 novembre 2015
JOURNEE INTERNATIONALE DE PROTECTION DE LA COUCHE D'OZONE 2015
la Journée Internationale de protection de la couche d'ozone 2015 s'est célébrée cette année sous le Thème : 30 ans de collaboration au service de la reconstitution de la couche d’ozone - « La couche d’ozone, seul rempart contre les UV ». Blondel Silenou Directeur Executif de JVE Cameroun était l'invité de Rodrigue Tongué sur Canal 2 internationale pour débattre de toutes les coutures de cette actualité et bien d'autres je vous invite à suivre.
SUR LA ROUTE DE PARIS COP 21, ON EN PARLE SUR CANAL 2 INT
le Directeur Exécutif de JVE Cameroun Blondel Silenou, était l'invité de Rodrigue Tongue sur Canal 2 International dans le cadre de l'émission "un jour un événement". la visite de Annick Girardin secrétaire d'état au développement et à la Francophonie, auprès du ministre des Affaires étrangères et du développement international servait de prétexte à cette invitation au cour de laquelle Blondel et Rodrigue ont abordé les enjeux de la prochaine conference des Nations Unies sur le changement climatique la COP 21 qui se tiendra à Paris en France dès le 30 novembre prochain. bien d'autres articulations ont meublé les échanges.
En outre cette initiative qui s'inscrit dans le cadre des préparatifs de notre organisation à cette importante rencontre. Nous vous invitons à suivre la video de cet échange
mercredi 28 octobre 2015
LES JEUNES VOLONTAIRES S'ENGAGENT DANS LA CAMPAGNE CLEAN UP THE WORLD
Il était une vingtaine, qui, malgré la pluie ont décidé de témoigner en cette occasion unique leur engagement indéfectible à la cause environnementale. arpentant les rues de la cité capitale en quêtes de déchets plastiques et autres détritus susceptible de polluer notre environnement.
La campagne qui s'est ouvert ce jeudi 28 octobre s'inscrit dans le cadre du projet “ Clean Up World Cameroun” que conduit par la Jeune Chambre Internationale Cameroun. Pour sa mise en oeuvre l'initiative bénéficie de la collaboration de Jeunes Volontaires pour l'Environnement et de la Fondation Villes Propres.
L'objectif de l'activité qui s'étend du 28 au 31 Octobre 2015 est d' améliorer l'état de notre ville . En plus de nettoyer , il est question de sensibiliser les populations sur les dangers inhérents à une gestion approximative de l'environnement, autres point qui sera debattu la responsabilité sociale et des mesures environnementales positives développées au sein de la communauté.
le thème «Notre environnement, notre Responsabilité" met en évidence l'impact positif que chacun de nous peut avoir sur notre environnement en individuel ou collectivement.
Quelques images de la première journée
La campagne qui s'est ouvert ce jeudi 28 octobre s'inscrit dans le cadre du projet “ Clean Up World Cameroun” que conduit par la Jeune Chambre Internationale Cameroun. Pour sa mise en oeuvre l'initiative bénéficie de la collaboration de Jeunes Volontaires pour l'Environnement et de la Fondation Villes Propres.
L'objectif de l'activité qui s'étend du 28 au 31 Octobre 2015 est d' améliorer l'état de notre ville . En plus de nettoyer , il est question de sensibiliser les populations sur les dangers inhérents à une gestion approximative de l'environnement, autres point qui sera debattu la responsabilité sociale et des mesures environnementales positives développées au sein de la communauté.
le thème «Notre environnement, notre Responsabilité" met en évidence l'impact positif que chacun de nous peut avoir sur notre environnement en individuel ou collectivement.
Quelques images de la première journée
Macaire Boueloumé de JVE Cameroun en action |
Blondel Silenou dans son élément |
Ensemble on est plus fort |
la sensibilisation, une étape importante de campagne |
un leadership d'action |
les déchets sont la ou doivent être |
samedi 10 octobre 2015
L'ECOLE NATIONALE DES EAUX ET FORET EN FETE
Le
09 octobre dernier était jour de fête à l'Ecole Nationale des Eaux
et Forêt du Cameroun. en effet ce jour, l'école livrait sa 66ème
promotion, instant solennelle auquel
nous avons pris part.
Créée
en 1949, l'établissement qui aujourd'hui porte le nom d' Ecole
Nationale des Eaux et Forêts, nait sous l’appellation de Centre
d’Apprentissage Forestier. Suite des innovations le centre
deviendra en 1952 l’ Ecole Technique Forestière puis l’Ecole
des Eaux et Forêts de Mbalmayo en 1966. c'est en septembre 1980
qu'elle sera érigée Ecole Nationale des Eaux et Forêts.
Avec comme mission principale la formation des cadres moyens de l’administration forestière et des partenaires de secteur forêt bois environnement , l'école accorde une place de choix à la recherche appliquée et expérimentale. Dans le même ordre d'idée elle propose des formations continues et à la carte, mais aussi des prestations de services .
A l'heure ou elle livre sa 66ème promotion baptisée YON Marcel l'école offre l'occasion à ses partenaires d'échanger et de partager le savoir faire de la jeunesse , ceci à travers le prime d'une exposition qui a drainé du beau monde. Cette belle illustration de l'engagement du Cameroun dans la préservation de l'environnement a connu la participation de la branche locale de Mbalmayo de JVE.
Petite rétrospective en image
l'équipe de JVE en bonne compagnie pour le bonheur de l'environnement |
les participants à la céremonie se ruent vers les stands |
Des visiteurs |
L'infatigable DJIBrilla Pdt de la branche locale de Mbalmayo |
et si on parlait un peu de mediation Environnementale |
Bienvenue à l'esplanade de l'ENEF |
vendredi 9 octobre 2015
SUR LA ROUTE DE PARIS COP21
Conference/débat
Environnement et Changements Climatiques: enjeux pour la sous régions Afrique Centrale et Grands lacs
Environnement et Changements Climatiques: enjeux pour la sous régions Afrique Centrale et Grands lacs
Dans le cadre de la célébration de ses 20 ans, et prélude à la conference des Nations Unies sur le climat qui se tiendra à Paris fin novembre début décembre 2015, l'Agence Universitaire de la Francophonie a offert au public de Yaoundé une conference débat sur les enjeux du climat dans la sous région. la conference qu'animait un panel d'universitaires chevronnés à l'instar du Pr Joseph Amougou maitre de conference en géographie à l'université de Yaoundé I; Jean Jacques BRAUN directeur de recherche à l'IRD Cameroun et le Professeur Louis Zapfack maitre de conference en biologie à l'université de Yaoundé I explorait dans quelle mesure le climat contribue t il au développement. l'Institut Français du Cameroun servait de cadre à cette rencontre.
revivons en image quelques moments forts
Pr Joseph Amougou point focal UNFCCC, et Blondel Silenou de JVE |
silence ici on parle climat |
plus de 300 participants ont fait le déplacement |
On prend les notes la conference bat son le plein |
on écoute |
les participants |
une dernière question Prof |
Suzanne Bilo'o participante et membre de JVE |
Le grand prof dans son élément |
on suit avec assiduité M. Moise Mbimbé le SG |
on est ensemble |
jve toujours plus haut |
mercredi 7 octobre 2015
JEUNES VOLONTAIRES POUR L'ENVIRONNEMENT PARTICIPE AU SALON INTERNATIONALE DU VOLONTARIAT ET DE LA SOLIDARITÉ
mercredi 07 octobre 2015 l’esplanade
de l’hôtel de ville de Yaoundé grouille de monde, le salon
international du volontariat et de la solidarité Cameroun 2015 s'est
ouvert ce jour sous le haut patronage du nouveau ministre de la
jeunesse et de l’éducation civique qu'accompagnaient pour la
circonstance les ministre de la communication et de la promotion de
la femme et de la famille.
Événement Organisé par France
volontaire et le Réseau des Acteurs du Volontariat et de la
Solidarité Internationale(RAVSI), le salon entend à faire connaitre
au grand public l’action du volontariat dans le développement
durable. Opportunité idoine pour mettre en lumière la contribution
de la jeunesse.
Avec une dizaine de volontaires
mobilisée, près de 300dépliants distribués en cette
première journée, la participation de JVE s'illustre dans bien
d'activité. Entre échanges et débats sur l’apport du
volontariat dans les grands enjeux du monde et animation de stand JVE
met en évidence toute sa vitalité.les contribution de Sariette
Tayou sur l’apport de la jeunesse dans le processus de mise en
œuvre du volontariat, communication qui puisse l'essentiel de sa
substance dans l’expérience de JVE Cameroun dans le
volontariat ; l’environnement et le développement durable.
JVE Cameroun s’est également illustré à travers une belle
intervention de Nelly diane Alemfack sur l'initiative PIRJEF.
Le salon c'est aussi ces volontaires
mobilisés autour de Blondel Silenou pour assurer la communication à
travers les réseaux sociaux et l’animation du stand de RAVSI
Pour une première édition et malgré
les nombreux contraintes dues à l’organisation d’une telle
activité ; le salon tient la promesse des fleurs.
Quelques images
Le Ministre de la Jeunesse participe à la campagne Action 2015 |
ceremonie d'ouverture |
Djibrilla pdt de la branche locale de Mbalmayo presente les actions deJVE |
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une vue des stands |
le président duConseil National de la Jeunesse du Cameroun |
Ajouter une légende |
Djibrilla et Ghislaine les participants la photo de famille |
lundi 21 septembre 2015
INSTAURER UNE TARIFICATION INTERNATIONAL DU CARBONE "BONUS MALUS" UN OUTIL QUI POURRAIT FAIRE AVANCER LES DEBATS CLIMATIQUES
Instaurer une tarification internationale du
carbone « bonus-malus », un outil qui pourrait faire
avancer les débats climatiques
La
terre est la seule planète connu qui jusqu’ici offre un équilibre
qui permet la vie (végétale et animale). Elle, repose sur un
équilibre où chaque élément a sa place. De cet équilibre
dépendent le maintien des ressources et les conditions
indispensables à la pérennité de l’espèce humaine. La
vie est arrivé sur terre il y a presque 4 milliards d’année et
l’Homme il y a seulement 200 000 ans. Cependant, il a réussi en
très peu de temps à bouleverser cet équilibre si essentiel. Notre
mode de vie, nos déplacements, nos loisirs, tout concours à
accroître nos besoins. Ils croissent largement plus que ce que la
planète peut nous offrir. La population humaine a été multipliée
par quatre en un siècle, tandis que la consommation d'énergie et de
matières premières a été augmentée d'un facteur 10. Cette
pression de l'humanité, tributaire de notre système de
développement dépasse significativement la capacité de notre
planète à absorber nos pollutions et à se régénérer. En même
temps, cette pollution est arrivée en son niveau critique. L’équipe
des experts réunis par Johan Rockström estime à 350 Partie par
million la limite d’émission de GES à ne pas dépasser pour
éviter une catastrophe climatique à l’échelle planétaire. Comme
nous le savon tous, cette limite a été dépassé en 2013 et si rien
n’est fait le scénario le plus alarmiste nous mènera à une
augmentation catastrophique de 4°C.
Si le
prix à payer est lourd, il n’est cependant pas trop tard. La prise
de conscience est une exigence et l’engagement des différente
parties prenantes pour une prise de décisions commune une nécessité.
Fort
heureusement lors de la 19ème session de la Conférence des Parties
(COP 19) qui s'est tenue à Varsovie, les Parties ont convenu
d'« engager ou amplifier les préparatifs de leurs
contributions prévues déterminées au niveau national (CPDN) »
en vue d’en faire part bien avant la COP 210 à Paris. Cette
décision a été fortement appréciée par le reste de la communauté
internationale car un tel document s’il venait à être soumis par
les différents pays constituerait un apport clé aux négociations
devant mener à un accord sur le climat en 2015 à Paris.
Toutefois,
à la lumière des contributions déjà enregistrées, il y a lieux
de se poser des questions sur l’engagement réel des différents
Etats émetteurs à vouloir atteindre les objectifs visés de moins
de 2°c. En réalité, les engagements pris par la plupart des pays
développés ne se sont pas compatibles à leurs capacités réelles
de réduction d’émissions. A l’opposé, les pays africains et
plus particulièrement le Cameroun qui demeure
globalement un puits de GES avec une capacité d’absorption de
46 983 Gg EQ CO2
(2000) et dont les émissions sont insignifiantes à l’échelon
international (0.4%) souhaite toutefois contribuer à l’effort
commun de réduction des émissions globaux à hauteur de 32% à
l’échelle nationale par rapport à un scénario de référence
pour l’année cible 2035. L’atteinte de ces résultats sera
conditionnée au soutien de la communauté internationale sous forme
de financement, d’actions de renforcements de capacités et de
transfert de technologie. La plupart des autres PED qui ont déjà
soumis leur CPDN ont également présentée des contributions
partiellement/totalement conditionnées.
Dès
lors, s’il semble que l'objectif des 2°C commence à
dangereusement s’éloigner, il parait urgent de trouver des
mesures/mécanismes/outils à proposer pour faciliter les débats et
les échanges de manière à ce que les différents négociateurs
parviennent à un accord global à Paris.
En
réalité, la proposition faite par la Chaire d’Economie du Climat
en l’occurrence la taxe mondiale sur les émissions de CO2 en
bonus-malus semble pour nous un des outils qui pourraient faire
avancer les débats sur plusieurs questions (mitigation des
émissions, financement climatique, etc.).
- elle fixerait une incitation réelle à réduire les émissions chaque année par les différents pollueurs
- elle définit un seuil moyen d’émissions par habitants de la planète: 6,5 t CO2e
- elle propose un prix de 7,5 $ / t pour pouvoir atteindre les 100 Mds/an pour le FVC
- les Pays au-dessus du taux moyen contribuent au FVC en proportion de leur dépassement, pays en-dessous bénéficient de financements via le FVC
- les contributeurs potentiels seraient les USA, la Chine, la Russie, l’UE, le Japon, le Canada, l’Arabie Saoudite, etc.
- les bénéficiaires potentiels seraient le Cameroun, le Nigeria, la RDC, l’Inde, le Bangladesh, le Pakistan, l’Indonésie, les Philippines, etc.
- elle encouragerait les pays bénéficiaires potentiels à converger vers une courbe de croissance sobre en carbones
- elle permettrait à ces pays de bénéficier des co-bénéfices y associé en terme d’adaptation.
Parvenir
à tel résultat est un challenge surtout dans un contexte où les
stratégies de préservation de l'environnement, qui impliquent entre
autre la gestion durable des ressources naturelles, induisent des
enjeux économiques majeurs et remettent même en cause les
fondements même du développement tel que perçu par nos pairs.
Toutefois, nous avons la responsabilité d’agir pour les
générations futures.
Steve ZANGUE
Jeunes volontaires pour l'Environnement
Membre de la plate forme REDD+ Changement climatique Cameroun
vendredi 18 septembre 2015
L'ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES UNE NÉCESSITÉ DANS LA RÉGION DE L'OUEST-CAMEROUN
Nul
besoin d’attendre le plein effet des changements climatiques pour
voir naître une crise de l’eau. Celle-ci est déjà bien en force
en plusieurs endroits avec des répercussions irréversibles sur des
systèmes socioéconomiques des communautés.Le
Cameroun dispose d’importantes potentialités en eau (aussi bien de
surface : 267,88 km3 que souterraine : 55,98 km3).
Mais, celles-ci sont en nette fluctuation depuis les années 1970 du
fait de la succession des périodes sèches et humides, engendrant
des crises de l’eau. Ces crises vont s’accroitre avec des
sécheresses et des inondations plus fréquentes à causes des
changements climatiques. La région de l’ouest (hauts plateaux de
l’ouest) l’un des châteaux d’eau du Cameroun n’en demeure
pas exclu. Elle fait face aujourd’hui à de nombreuses menaces sur
la qualité et/ou la disponibilité des eaux. Cette situation résulte
des effets pervers du changement climatique combinés aux actions
anthropiques (mauvaises pratiques agricoles et sylvicoles).
Une analyse rétrospective de l’évolution des dynamiques agraires/hydrique de la région permet de noter de grands changements dans le milieu naturel et dans les pratiques paysannes qui affectent la pérennité de la ressource hydrique dans la région. Cette menace est exacerbée dans un contexte marqué par les changements climatiques et prive en aval de nombreuses populations de l’accès à l’eau, ressource vitale, et soulève par voie de conséquence un problème de gouvernance locale de l’eau, qu’il faut absolument résoudre.En effet, c’est une région qui constitue un refuge pour une riche biodiversité et une réserve hydrique qui a longtemps échappé à la force prédatrice humaine ou aux cataclysmes naturels. Elle est constituée de plusieurs bassins versants qui servent de collecteur des eaux de surfaces, elles même pourvoyeuses des eaux douces souterraines des régions voisines plus basses, et plus loin de plusieurs cours d’eau : Sanaga, Mbam, Mifi, Noun, Nkam, etc. Les études menées dans région nous ont permis d’évaluer l’ampleur des mutations du milieu : il y ressort que l’évolution des pratiques agro-sylvico pastorales principales activités de subsistance de la région dans un contexte marqué par des changements climatiques est de plus en plus préoccupante. Cette disponibilité est en effet perturbée par des actions qui influent sur le cycle hydrologique de la région comme :Plantation anarchique et abusive des eucalyptus en particulier dans les bas-fondsDestruction des marécages et déforestaion des forêts de raphia dans les bas fonds pour l’agriculture de contre saison (saison sèche) et l’artisanat localProblème 5 : Défrichement du couvert végétal pour faire place à l’exploitation agricoleProblème 4 : Mauvaise utilisation des pesticides par les exploitants agricolesAssèchement des sources jadis pérennes en saison sèche, elle impacte sur la disponibilité de l’eau de boisson et de ménage des communautés. En effet, l’eau de source constitue la principale source d’approvisionnement en eau de ménage et en eau de boisson pour les communautésBaisse drastique et/ou complète des niveaux d’eau dans les puits en saison sèche. Ceci crée des frustrations au sein des communautés et les poussent à aller à plusieurs kilomètre prendre de l’eau de forage qui cependant n’est le plus souvent pas assez suffisante pour couvrir tous les besoins.Assèchement des cours d’eau et marécages en saison sèche : Les abondantes eaux de surfaces, jadis protégées par les frondaisons des palmiers raphia laissaient place à des ruisselets rougeâtres, ferrugineux
La qualité des eaux de moins en moins adéquates aux usages familliales. La pollution de ces cours d’eau affecte désormais la qualité de l’eau et altère les conditions de vie des communautés de la région. Ces cours d´eau alimentent les populations en eau de boisson, en eau de ménage et servent également à l´alimentation du bétail et aux pratiques agricolesFortement ancré la culture Bamiléké et fortement demandés par les entreprises de production et de distribution d´énergie électrique et de téléphonie filaire, les poteaux en eucalyptus sont prisés et sont produits partout dans les concessions, occupent progressivement les terres agricoles et désormais, mêmes les zones marécageuses. Or ces plantations sont vivement critiquées aujourd´hui, à cause de leurs effets défavorables sur le sol (appauvrissement, érosion) et sur l´hydrologie (assèchement de la nappe, des bas-fonds et des cours d’eau). La prolifération de ces plantations est aujourd’hui pointée du doigt comme étant l’une des causes du tarissement de nombreuses sources et cours d’eau dans plusieurs villages de l’ouest Cameroun1.Les bas-fonds hydromorphes majoritairement occupés par la raphiale ont toujours constitués en pays bamiléké, des espaces exclus de la mise en valeur agricole. En effet, ces types de végétation sont des indicateurs des sources d’eau douce de surface. Elles jouent un rôle écologique fondamental dans l’équilibre écologique de la zone et particulièrement dans la protection des eaux de surface par leur triple action : infiltration, filtration et protection contre l’évapotranspiration. Les investigations montrent que 31% de bas-fonds marécageux à Touegwe, un des villages de bayaguam autrefois occupés par les plantations de raphiales ont tous été pris d´assaut par les exploitants agricoles.La destruction du couvert végétal pour faire place à l’agriculture comme on l’observe sur presque toute l’étendu des terres naturelles de l’ouest-Cameroun est l’un des facteurs qui affecte le plus la disponibilité de la ressource dans la région. Elle favorise le lessivage des sols vers les bas fonds et ralenti l’infiltration des eaux de pluie vers les nappes.
Ce rejet de contenant de pesticides (sachets et emballages plastiques) utilisés par les exploitants agricoles affecte la qualité de l´eau des nappe et des cours d’eau de la région et prive les communautés riveraines et celles en aval de l’eau potable et de consommation.Bien que ces activités anthropiques aient des répercussions positives sur le système socioéconomique de la région, leurs conséquences sur la disponibilité de la ressource en eau aussi bien en quantité qu’en qualité sont désastreuses. Cette situation de stress hydrique aggravée par les changements climatiques affecte le quotidien les communautés de nombreux autres villages de l’Ouest.
Ces grands changements dans le milieu naturel et dans les pratiques paysannes observés à l’ouest renforcent l’intérêt et la pertinence d’une démarche de plaidoyer orienté vers les détenteurs de pouvoirs au niveau local et des acteurs publics nationaux et internationaux. L’année 2015 constitue à sans aucun doute le tournant de l’histoire. Des mesures doivent être prises pour limiter de dérèglement climatique observé et surtout proposer des solutions contextuelles et durables aux communautés locales pour améliorer leurs conditions de vie. Elles doivent tenir compte de deux contraintes antagonistes : la raréfaction sans cesse croissante et généralisée des ressources en eau à l’échelle locale exacerbée par les changements climatiques et l’augmentation exponentielle de la demande en eau surplombé par l’explosion démographique. Toutefois, parce qu’il s’agit d’adapter cette démarche au contexte dynamique des évolutions sociales de la région, des actions à entreprendre doivent constituer l’expression des communautés concernées.
Une analyse rétrospective de l’évolution des dynamiques agraires/hydrique de la région permet de noter de grands changements dans le milieu naturel et dans les pratiques paysannes qui affectent la pérennité de la ressource hydrique dans la région. Cette menace est exacerbée dans un contexte marqué par les changements climatiques et prive en aval de nombreuses populations de l’accès à l’eau, ressource vitale, et soulève par voie de conséquence un problème de gouvernance locale de l’eau, qu’il faut absolument résoudre.En effet, c’est une région qui constitue un refuge pour une riche biodiversité et une réserve hydrique qui a longtemps échappé à la force prédatrice humaine ou aux cataclysmes naturels. Elle est constituée de plusieurs bassins versants qui servent de collecteur des eaux de surfaces, elles même pourvoyeuses des eaux douces souterraines des régions voisines plus basses, et plus loin de plusieurs cours d’eau : Sanaga, Mbam, Mifi, Noun, Nkam, etc. Les études menées dans région nous ont permis d’évaluer l’ampleur des mutations du milieu : il y ressort que l’évolution des pratiques agro-sylvico pastorales principales activités de subsistance de la région dans un contexte marqué par des changements climatiques est de plus en plus préoccupante. Cette disponibilité est en effet perturbée par des actions qui influent sur le cycle hydrologique de la région comme :Plantation anarchique et abusive des eucalyptus en particulier dans les bas-fondsDestruction des marécages et déforestaion des forêts de raphia dans les bas fonds pour l’agriculture de contre saison (saison sèche) et l’artisanat localProblème 5 : Défrichement du couvert végétal pour faire place à l’exploitation agricoleProblème 4 : Mauvaise utilisation des pesticides par les exploitants agricolesAssèchement des sources jadis pérennes en saison sèche, elle impacte sur la disponibilité de l’eau de boisson et de ménage des communautés. En effet, l’eau de source constitue la principale source d’approvisionnement en eau de ménage et en eau de boisson pour les communautésBaisse drastique et/ou complète des niveaux d’eau dans les puits en saison sèche. Ceci crée des frustrations au sein des communautés et les poussent à aller à plusieurs kilomètre prendre de l’eau de forage qui cependant n’est le plus souvent pas assez suffisante pour couvrir tous les besoins.Assèchement des cours d’eau et marécages en saison sèche : Les abondantes eaux de surfaces, jadis protégées par les frondaisons des palmiers raphia laissaient place à des ruisselets rougeâtres, ferrugineux
La qualité des eaux de moins en moins adéquates aux usages familliales. La pollution de ces cours d’eau affecte désormais la qualité de l’eau et altère les conditions de vie des communautés de la région. Ces cours d´eau alimentent les populations en eau de boisson, en eau de ménage et servent également à l´alimentation du bétail et aux pratiques agricolesFortement ancré la culture Bamiléké et fortement demandés par les entreprises de production et de distribution d´énergie électrique et de téléphonie filaire, les poteaux en eucalyptus sont prisés et sont produits partout dans les concessions, occupent progressivement les terres agricoles et désormais, mêmes les zones marécageuses. Or ces plantations sont vivement critiquées aujourd´hui, à cause de leurs effets défavorables sur le sol (appauvrissement, érosion) et sur l´hydrologie (assèchement de la nappe, des bas-fonds et des cours d’eau). La prolifération de ces plantations est aujourd’hui pointée du doigt comme étant l’une des causes du tarissement de nombreuses sources et cours d’eau dans plusieurs villages de l’ouest Cameroun1.Les bas-fonds hydromorphes majoritairement occupés par la raphiale ont toujours constitués en pays bamiléké, des espaces exclus de la mise en valeur agricole. En effet, ces types de végétation sont des indicateurs des sources d’eau douce de surface. Elles jouent un rôle écologique fondamental dans l’équilibre écologique de la zone et particulièrement dans la protection des eaux de surface par leur triple action : infiltration, filtration et protection contre l’évapotranspiration. Les investigations montrent que 31% de bas-fonds marécageux à Touegwe, un des villages de bayaguam autrefois occupés par les plantations de raphiales ont tous été pris d´assaut par les exploitants agricoles.La destruction du couvert végétal pour faire place à l’agriculture comme on l’observe sur presque toute l’étendu des terres naturelles de l’ouest-Cameroun est l’un des facteurs qui affecte le plus la disponibilité de la ressource dans la région. Elle favorise le lessivage des sols vers les bas fonds et ralenti l’infiltration des eaux de pluie vers les nappes.
Ce rejet de contenant de pesticides (sachets et emballages plastiques) utilisés par les exploitants agricoles affecte la qualité de l´eau des nappe et des cours d’eau de la région et prive les communautés riveraines et celles en aval de l’eau potable et de consommation.Bien que ces activités anthropiques aient des répercussions positives sur le système socioéconomique de la région, leurs conséquences sur la disponibilité de la ressource en eau aussi bien en quantité qu’en qualité sont désastreuses. Cette situation de stress hydrique aggravée par les changements climatiques affecte le quotidien les communautés de nombreux autres villages de l’Ouest.
Ces grands changements dans le milieu naturel et dans les pratiques paysannes observés à l’ouest renforcent l’intérêt et la pertinence d’une démarche de plaidoyer orienté vers les détenteurs de pouvoirs au niveau local et des acteurs publics nationaux et internationaux. L’année 2015 constitue à sans aucun doute le tournant de l’histoire. Des mesures doivent être prises pour limiter de dérèglement climatique observé et surtout proposer des solutions contextuelles et durables aux communautés locales pour améliorer leurs conditions de vie. Elles doivent tenir compte de deux contraintes antagonistes : la raréfaction sans cesse croissante et généralisée des ressources en eau à l’échelle locale exacerbée par les changements climatiques et l’augmentation exponentielle de la demande en eau surplombé par l’explosion démographique. Toutefois, parce qu’il s’agit d’adapter cette démarche au contexte dynamique des évolutions sociales de la région, des actions à entreprendre doivent constituer l’expression des communautés concernées.
1
Connus comme grands
consommateurs d’eau (en moyenne 50 l par jour pour un pied
mature), ils épuisent rapidement les ressources en eau du sol, de
sorte qu’ils sont plantés dans certaines villes pour assécher
les marécages.
Steve ZANGUE
Jeunes volontaires pour l'Environnement
Membre de la plate forme REDD+ Changement climatique Cameroun
mardi 18 août 2015
L’ENERGIE RENOUVELABLE DE PROXIMITE, ENTRE OPPORTUNITE POUR LES POPULATIONS RURALES ET LA REDUCTION DE LA DEFORESTATION AU CAMEROUN
Image bio-digesteurs permettant aux ménages des zones rurales de la région de l’Adamaoua de produire du biogaz à partir de la bouse de vache (SNV, 2013) |
Le
monde entier est aujourd’hui confronté à l’urgence aiguë d’une
crise intergénérationnelle qu’est le changement climatique. Pour
y faire face, les énergies renouvelables ont été identifiées par
de nombreux experts comme une solution de développement soutenable
et sobre en carbone.
Les
plus grandes puissances industrielles du monde s’y convertissent
peu à peu, abandonnant progressivement les formes conventionnelles
d’énergies qui se sont avérées extrêmement polluantes pour
l’environnement.
Par
contre, bon nombre de pays moins industrialisés malgré quelques
effort tardent à franchir le cap. En effet, tout comme les autres
pays d’Afrique centrale, le Cameroun dispose d’importantes
ressources énergétiquesvariées. Des études dont les résultats
sont repris dans le Plan Energétique National (PEN), indique qu’il
dispose d’une insolation moyenne de 4,9 KWh/m²/j, soit 4 KWh/m²/j
pour la partie sud du pays et 5,8 KWh/m²/j pour la partie
septentrionale. Cette énergie est estimée à 89,25 TWh/an et est
exploitable sous deux formes, thermique et photovoltaïque. De même,
les résidus de récoltes et autres déchets ruraux et urbains,
animaux ou végétaux, ménagers ou industriels, sont de bonnes
sources d’énergie jusqu’ici non valorisées. A titre d’exemple,
une étude menée par GIZ, estime à 2,45 millions m³, soit environ
1.20 millions de tonnes, le volume de résidus de bois générés par
la production ligneuse au Cameroun.
Malgré
ce potentiel, la population camerounaise fait face à un problème
sérieux d’accès aux services énergétiques de base. Les
statistiques démontrent que près de 46% de cette population n’a
pas accès à une énergie durable (BM, 2012). Sur les 13104
localités que compte le pays, moins de 3000 sont électrifiées.
C’est ce qui explique le fait que le bilan énergétique du
Cameroun soit dominé par la biomasse (charbon de bois, bois de
chauffe). Il représente près de 53% de l’énergie consommée1.
La situation est plus criarde en zones rurales où elle compte pour
plus des 80% de l’énergie primaire.
Cette
demande urbaine et rurale en bois de feu et en charbon de bois est un
facteur important du déboisement du territoire1
et augmentera en chiffres absolus dans les années à venir avec des
rétroactions négatives sur les systèmes climatiques si rien n’est
fait.
Dans
le même temps, ce faible niveau d’accès à l’énergie n’a pas
facilité l’atteinte des OMD au Cameroun2,
et ne facilitera non plus la réalisation des ODD dans l’avenir.
Face
à cela, l’impératif de trouver des stratégies permettant
d’assurer l’approvisionnement des ménages ruraux en source
d’énergie domestique durable se pose de plus en plus avec acuité.
S’il est vrai que l’hydro énergie3
apparait en pôle de position dans la politique de développement du
secteur énergétique au Cameroun, nous estimons qu’elle présente
plusieurs controverses sociales et environnementales. De plus elle ne
sera pas, à elle seule en mesure de répondre à la demande de plus
en plus croissance observée et encore moins d’atteindre les
localités les plus reculées.
Dès
lors, même si l’hydroélectricité paraît comme un bon moyen de
développer des énergies propres pour le secteur de l’industrie
camerounais, le solaire et la bioénergie(issue de la valorisation
des déchets organiques inexploités (rebus forestiers, déchets
organiques d’élevage, etc.)semblent plus adaptées pourfournir une
électricité verte aux populations locales.
Elles
sont dans le contexte camerounais des solutions idoines pour répondre
à cette double préoccupation c’est à dire de relever le défi
lié au transport de l’énergie vers les zones de consommation
locales, de réduire la pression sur les ressources ligneuses et de
ce fait réduire la déforestation. Un rapport d’OXFAM fait état
de ce qu’elles constitueraient une source d’énergie plus
abordable que le charbon pour les populations pauvres des pays en
développement à travers le monde et une opportunité réelle
d’accès à l’énergie pour celles-là qui sont le plus souvent
éloignées des centres de production.
installation d'un panneau solaire par un jeune Baka(PA) formé dans le cadre du PODC-Momedjoh |
A
ce propos, bien que cette énergie de proximité constitue à tous
points de vue une solution durable à l’électrification des
localités du Cameroun, il faut toutefois relever que la mise en
place d’un tel dispositif fait face à un cadre politique et
réglementaire en la matière plus ou moins absent, ce qui ne
facilite pas le déploiement des institutions étatiques et non
étatiques connexes ; au faible niveau de développement
technologique du pays ; au coût d’investissements en la matière
plus ou moins élevé malgré la baisse significative des coûts de
technologies sur le marché international et surtout à de faibles
capacités des acteurs locaux à la base à développer ce types
d’alternatives.
Dès
lors, nous espérons que dans un contexte marqué par les changements
climatiqueset compte tenu de l’intérêt qui doit être accordé à
cette problématique, les différentes parties prenantessauront
mettre en place des politiques et stratégies adéquates efficaces
pour relever ces différents défis. A titre de recommandations, nous
proposons à différentes échelles que :
Au
niveau international,
les
pays développés doivent clarifier le plan sur les 100 milliards de
dollars US d'ici2020.
la
COP 21 de Paris doit prendre des engagements concrets pour la
redirection des investissements des énergies fossiles vers les
énergies propres
la
COP21 de Paris doit encourager et soutenir financièrement les bonnes
pratiques énergétiques et leur mise à l'échelle afin de
s'attendre à une baisse considérable des émissions de GES.
La
COP 21 de Paris doit prendre des engagements concrets en matière
deTransfert de technologie vers les PMA au regard de leurs potentiels
de réduction des GES
Au
niveau national
la
définition d’une politique énergétique nationale qui tiendrait
compte des opportunités de valorisation des sources d’énergie
renouvelables disponibles, les opportunités à saisir dans le cadre
du mécanisme REDD+ et intégrerait la spécifié des différentes
régions du pays. Celle-ci devra se traduire à terme par la mise en
place d’une réglementation et d’une stratégie efficace et apte
à impulser et à réguler le secteur des énergies renouvelable en
générale, du solaire et bioénergie en particulier ;
la
création et le fonctionnement dans l’immédiat l’agence en
charge de la promotion du développement des énergies renouvelables
tel que prévue dans la loi de 2011 ;
le
renforcement des capacités techniques et financière de cette
structure
la
sensibilisation des acteurs locaux sur les changements climatiques et
les enjeux de l’énergie renouvelable
la
vulgarisation de la technologie verte au sein des universités et la
promotion des emplois verts
le
renforcement des capacités des acteurs de la société civile et des
communautés locales sur la question des énergies renouvelables et
subventionner les projets de promotion des énergies solaire et de
valorisation des déchets organiques inexploités en bioénergie dans
les zones rurales.
1 D’après
le bilan énergétique du Cameroun, en 2010, la production totale
d'énergie a été de l’ordre de 8 521 ktep dont 53 % de biomasse,
43 % de produits pétroliers et seulement 4 % d’électricité
2 Les
premières études menées nous ont permis de constater que les
causes de déforestation et de dégradation des forêts au Cameroun
sont au premier rang la conversion des forêts pour l’agriculture
et la récolte du bois de feu
3 L’amélioration
de l’accès à l’énergie dans les pays en voie de développement
a été définit par les Nations Unies comme un pré requis à
l’atteinte des
OMD
Par STEVE ZANGUE
dimanche 9 août 2015
ACTION 2015 CAMEROUN : la Journée Internationale de la Jeunesse se prépare
#Journée Internationale de la jeunesse #ACTION2015
#COP21 la jeunesse francophone pour l'eau
Améliorer la prise en compte de la jeunesse dans l'agenda post 2015 en définissant le rôle qu'elle peut jouer dans la gouvernance de l'eau et la sécurité alimentaire face au changement climatique. le Cameroun a été admis parmi les pays Francophones à mener des consultations auprès de la jeunesse en vue d'élaborer un rapport qui donne un aperçu des opinions sur le but et les objectifs proposés et leurs implications.
La séance de travail avec le Point focal "Eau et Jeunesse" GWP-Caf a permis d'échanger sur les éléments de la préparation de la rencontre nationale prévue le 12 Aout 2015 à l'occasion de la Journée Internationale de la Jeunesse
#COP21 la jeunesse francophone pour l'eau
Améliorer la prise en compte de la jeunesse dans l'agenda post 2015 en définissant le rôle qu'elle peut jouer dans la gouvernance de l'eau et la sécurité alimentaire face au changement climatique. le Cameroun a été admis parmi les pays Francophones à mener des consultations auprès de la jeunesse en vue d'élaborer un rapport qui donne un aperçu des opinions sur le but et les objectifs proposés et leurs implications.
La séance de travail avec le Point focal "Eau et Jeunesse" GWP-Caf a permis d'échanger sur les éléments de la préparation de la rencontre nationale prévue le 12 Aout 2015 à l'occasion de la Journée Internationale de la Jeunesse
séance de travail avec le Point focal "Eau et Jeunesse" GWP-Caf |
Diane moussima, Nelly diane Alemfack en séance de travail avec le Point focal "Eau et Jeunesse" GWP-Caf |
lundi 3 août 2015
CAMPAGNE ACTION 2015 CAMEROUN
La conférence de presse qui s'est déroulée le 11 Juillet 2015 a été l'occasion de faire connaitre la campagne au grand public, de présenter les enjeux de la conférence sur le financement du développement qui se déroulera du 13 au 16 Juillet 2015 à ADDIS-ABEBA, de faire le bilan de la première phase et de présenter les activités des prochaines étapes, mais surtout une cérémonie de passation de relai de coordination entre Climate Smart Agricultural Youth Network et Jeunes Volontaires pour l'Environnement. Le Merina Hotel abritait cette manifestation.
http://www.youtube.com/watch?v=eS5c1joAXjY&feature=youtu.be
http://www.youtube.com/watch?v=eS5c1joAXjY&feature=youtu.be
http://www.youtube.com/watch?v=eS5c1joAXjY&feature=youtu.be
http://www.youtube.com/watch?v=eS5c1joAXjY&feature=youtu.be
jeudi 30 juillet 2015
LA JOURNEE INTERNATIONAL DU VOLONTARIAT SE PREPARE
Les acteurs du développement doivent étendre la sensibilisation sur le volontariat dans les communautés afin de faire de ce dernier un outil d'édification nationale du développement humain. C'est en ces mots que s'exprimait Armand Paul MENYE, coordonnateur des volontaires des Nations Unies( UNV) Afrique Centrale et de l'Ouest à l'occasion de la réunion préparatoire de la Journée Internationale du Volontariat. La rencontre qui s'est tenue dans la salle de conférence du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) servait également de cadre pour présenter des différentes activités qui meubleront la JIV. Il est à noter que la JIV 2015 s'organisera dans les villes de Yaoundé et Bertoua. JVE CAMEROUN a pris part a ces travaux.
les participants ... |
une vue de la salle |
une vue du panel |
JVE prenait part |